vendredi 31 août 2012

Fatigante, la thalasso?

Totalement pris en charge, le curiste laisse au vestiaire sa peau d'adulte pour régresser en toute sérénité. Encore faut-il le vouloir…


Le peignoir moelleux? Il ne sert qu'au moment de se déplacer entre deux soins. On le quitte pour se glisser dans une baignoire taille XL dont l'eau est à température du corps, comme pour les nourrissons: un régal! Ensuite, le choix se fait entre bulles anti-stress, jets savamment orientés, essences relaxantes, massages subaquatiques. Ceux qui aiment être emmaillotés, façon truite en papillote, apprécieront la chaleur des enveloppements de boue ou d'algues. Les claustrophobes s'abstiendront.
Bref, entre les cures de détente et les remises en forme, la thalassothérapie offre un éventail de soins invitant à une régression salutaire. Le succès des établissements thermaux traduit un besoin de faire une pause dans un quotidien rongé par le stress. Oui, mais une thalasso, c'est quand même du boulot…
La coupure entre la vie professionnelle et les loisirs est moins nette qu'on ne le croit, estime le Dr Jean-Nicolas Despland, médecin adjoint au Département universitaire de psychiatrie de Lausanne. «Les loisirs sont devenus comme un second travail avec des exigences d'efficacité, constate-t-il. On se doit de réussir sa thalassothérapie!»
Mine de rien, un certain souci de performance règne dans ces temples du bien-être. Rien n'est laissé au hasard et le temps fait l'objet d'un découpage minutieux, avec matinée ou après-midi de congé comme à l'école. Même si elles sont librement choisies, les journées du curiste sont soumises à des contraintes horaires. On lui remet une petite fiche avec un programme qu'il doit suivre à la lettre. Côté habillement, l'uniforme est de rigueur: peignoir immaculé et sandales en plastique. Sans parler des repas diététiques et autres tisanes spartiates qui jalonnent le séjour de tout bon thalassothérapiste.
Ce n'est pas tout. Il faut encore apprendre à se détendre. La thalassothérapie propose nombre d'activités passives sur le plan relationnel qui favorisent une (saine) régression. A condition de se laisser aller. «Cette régression est nécessaire, observe Jean-Nicolas Despland. Elle constitue une ressource dont il faut savoir profiter à certains moments.»
Aux dires de curistes, passer d'un bain à l'autre et se faire chouchouter pendant des heures est souvent exténuant. Paradoxal? «Non, car les soins proposés dans ce type d'établissement demandent beaucoup d'énergie sur le plan cardiovasculaire et sont objectivement fatigants, poursuit le psychothérapeute vaudois. En outre, les personnes en cure doivent s'adapter à une situation nouvelle qui exige d'elles de travailler sur leurs capacités à être passives.» Pas de doute, ne rien faire est tout un art.

mercredi 29 août 2012

Marre, marre, marre des bijoux de pacotilles !

Parce qu’il y en a marre des bijoux chers et qui ne tiennent pas, parce qu’on en a ras-le-bol des fausses promesses, et des garanties qui ne fonctionnent jamais-jamais ! Parce qu’on en a marre des produits made-in-china alors qu’on nous promet des bijoux faits à la main.

Alors, on choisit de se tourner vers des vrais artisans qui aiment leur métier plus que tout, et qui fabriquent des bijoux en cristal avec beaucoup d’amour et de passion. On aime la proximité, le travail, et toute la délicatesse et toute la poésie qui s’en dégage. On aime beaucoup discuter avec les créateurs et savoir que s’il y a un problème, ils ne disparaitront pas par enchantement. On aime plus que tout le pendentif coeur blanc en cristal qui nous fait sentir belle-belle-belle et briller au milieu de lui (et dans ses yeuxà.
Bref, on aime les bijoux en cristal fait à la main par des artisans, des vrais (et pas ceux en pacotille).